Labataille du rail. avec Pierre Lottin Clara Ponsot. Dans ce premier long métrage, autoproduit, un jeune squatteur (Pierre Lottin) s’improvise revendeur de
LaBataille du rail, un film de René Clément | Synopsis : Film relatant la lutte des cheminots français pour la libération du territoire: sabotages, passages clandestins de la ligne de
Cœurde Dragon : La bataille du cœur de feu (2017) en ligne COMPLET Leave a Comment / Aventure / By Antoine Regarder Cœur de Dragon : La bataille du cœur de feu Streaming VF (VOSTFR) Gratuit en HD Cœur de Dragon : La bataille du cœur de feu (2017) film Complet en Français vous pouvez profiter en ligne gratuitement et sans inscription en un seul clic.
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Labataille du rail. Avis des internautes (3) 1 étoile sur 5. Infos; Diffusions; Casting; Résumé. Franck, un squatteur invétéré, se retrouve à devoir vendre de la cocaïne pour le compte de
LABATAILLE DU RAIL ? 281 Peu apr?s, la Commission militaire du Conseil national de la R?sistance (C.N.R.), en accord avec les mouvements de r?sistance du cin?ma, lan?ait? cet effet, avant m?me que les combats n'eussent cess?, le projet de financer plusieurs films sur la lutte men?e pendant quatre ans par la R?sistance3. Deux projets prirent
FilmComédie réalisé en 2019 par Jean-Charles Paugam, avec Pierre Lottin (Franck), Clara Ponsot (Nina) et Yasin Houicha (Malik). Regarder le film La Bataille du rail en streaming complet VOSTFR, VF, VO | BetaSeries.com
zmNmlA. La Bataille du film France, 2007 Titre original – Auteur Alain Weber Éditeur Éditions Ramsay 249 pages + annexes Genre Histoire du cinéma français Date de parution 6 septembre 2007 Format 210 mm X 140 mm Prix 22 € 3/5 Les faits, rien que les faits cela devrait être le mot d’ordre de tout ouvrage historique qui se respecte. En tout cas, c’est celui de La Bataille du film » dans lequel l’historien du cinéma Alain Weber revient en détail, mais sans jamais s’appesantir, sur l’époque sombre de l’Occupation. Une époque qui pourrait nous paraître lointaine, au fur et à mesure que ses derniers témoins directs disparaissent. Or, tout l’intérêt d’un livre comme celui-ci – et cela vaut de même pour la série de podcasts sur le maréchal Pétain diffusée récemment sur les ondes de France Inter –, c’est d’interroger à travers lui les mécanismes sociaux et économiques qui avaient jadis mené à la catastrophe de la Seconde Guerre mondiale. Et de se demander ensuite, avec un certain effroi, admettons-le, si la situation actuelle de la France et du monde ne nous préparait pas à une répétition tout à fait tragique de l’Histoire européenne d’il y a quatre-vingts ans … Pourtant, aucun alarmisme comparable n’anime ce livre d’une sobriété exemplaire. Peut-être parce que sa parution ne date pas d’hier, les préoccupations des Français ayant été bien différentes à la fin des années 2000 de celles qui nous tiennent en haleine aujourd’hui. Sans doute aussi, grâce au choix appliqué sans faille de la part de l’auteur de n’entrer dans aucune polémique stérile. Tout juste un soupir verbal, aussi bref que rare, laisse-t-il supposer les convictions de Weber, qui demeure sinon un conteur historique sans états d’âme notables. De cette distance observée en toute circonstance par le narrateur objectif émane alors une sécheresse toute relative du propos, d’autant moins préjudiciable que les près de 250 pages du livre se laissent lire néanmoins assez facilement. Elle a par contre tendance à vouloir passer en revue trop d’informations en trop peu de temps, privilégiant clairement un aperçu global du contexte au détriment d’une lecture plus pointue de cette période charnière du cinéma français. Le Corbeau © 1943 Continental Films / Films Sonores Tobis / Studiocanal / Les Acacias Tous droits réservés Synopsis Entre collaborateurs et résistants, depuis la prise de pouvoir d’Hitler en 1933 jusqu’à la libération de Paris et de la France à la fin de la guerre douze ans plus tard, ce livre décrypte les enjeux et les conséquences de cette période sombre du cinéma français. Je suis partout Le cinéma a beau n’être qu’un théâtre secondaire du conflit mondial, qu’un reflet abstrait de l’horreur vécue quotidiennement en temps de guerre, il portait en son sein toutes les failles et tous les manquements qui avaient finalement permis un tel dérèglement cataclysmique. Cela devient clair dès les premiers chapitres de La Bataille du film », au cours desquels les tractations financières et autres querelles d’influence industrielle montrent très tôt à quel point le cinéma français était mal équipé pour se mesurer aux géants américains et allemands. A ce sujet, l’équilibre des forces n’a guère évolué de nos jours, au détail près que notre cinématographie nationale doit se battre désormais, voire plus que jamais, contre l’influence écrasante des mastodontes hollywoodiens, encore renforcés par leurs services omniprésents de contenus en ligne. Un seul regard sur les chiffres du box-office hebdomadaire post-crise sanitaire suffit pour s’en convaincre. Face à l’idéalisme français, galvanisé par l’aventure éphémère du Front populaire, les forces nazies ont indiscutablement fait preuve de plus de pragmatisme. Une mainmise économique bientôt appuyée par les armes, qui n’a toutefois pas fait grand-chose pour rendre le cinéma allemand plus populaire en territoire occupé. Car l’avantage de l’argumentation de Alain Weber – déjà plus douteuse lorsqu’elle insiste à tort et à raison sur la durée des films évoqués –, c’est qu’elle s’intéresse au moins autant à la réception auprès du public français des œuvres de propagande de tous bords qu’à leur genèse parfois rocambolesque. La même attention y est prêtée aux différents organismes de contrôle mis en place par l’occupant, afin de mieux museler la parole publique et cinématographique en France. De quoi courir parfois le risque de se perdre entre des sigles à la sonorité pas toujours aussi parlante que le COIC, le Comité d’organisation de l’industrie cinématographique, instauré par le régime de Vichy en 1940. La Bataille du rail © 1946 Coopérative Générale du Cinéma Français / LCJ Éditions Tous droits réservés Un autre front national Après les deux premières grandes parties du livre qui reviennent en long et en large sur les stratagèmes machiavéliques des occupants nazis pour s’octroyer le moindre bénéfice de l’industrie du cinéma français, la perspective se décale heureusement vers des lendemains potentiellement plus heureux. D’abord, il s’agit d’y rendre hommage à cette frange de l’armée des ombres, qui a bataillé à sa façon afin de préserver l’essentiel du cinéma français jusqu’au jour tant espéré de la libération. Place désormais aux précurseurs de cette lutte clandestine, à Jean Grémillon, Louis Daquin, Henri Alekan et Jean-Paul Le Chanois pour ne citer qu’eux. Des noms qu’il vaut infiniment mieux garder en mémoire que ceux de collaborateurs plus ou moins discrets ou en tout cas pas assez courageux pour résister longtemps à l’appel mensonger de la victoire finale nazie et du travail facile comme Sacha Guitry et Henri-Georges Clouzot. Mais là aussi, Alain Weber a tendance à passer en toute vitesse sur des destins qui auraient sans doute mérité qu’on s’y attarde davantage. Ne vous laissez donc pas berner par l’apparition de l’actrice mythique Arletty sur la couverture de l’ouvrage. Elle est mentionnée à peine deux fois, le plus longuement quand l’heure des épurations a sonné et qu’elle doit répondre pendant moins d’une page de ses escapades amoureuses avec l’ennemi. De la même manière, les dizaines de films cités ne le sont la plupart du temps qu’en passant, à l’exception de l’emblématique épopée de la Résistance La Bataille du rail de René Clément qui a au moins droit à une moitié de chapitre en fin d’ouvrage. Tout le dilemme de la démarche de l’auteur se trouve là dans sa volonté manifeste d’inclure un maximum d’informations dans son livre indéniablement bien documenté, quitte à rester à la surface factuelle d’un sujet historique qui aurait eu besoin d’une description de contexte plus vive. Conclusion Une véritable mine d’informations, La Bataille du film » est en mesure de ravir tout lecteur empressé d’en savoir plus sur les douze années les plus sombres du cinéma français. De quelques anecdotes à la saveur douce-amère, comme notre prise de conscience que bon nombre d’institutions contemporaines remontent en fait à cette époque trouble, du CNC à la Fémis, en passant par le format 16 mm, jusqu’à une vue globale, dépourvue de passages littéraires à vide, de cette période historique mouvementée, Alain Weber y remplit parfaitement le contrat de lecture d’un ouvrage à l’ambition scientifique, quoique toujours accessible. Il n’empêche qu’il y inclut soit trop de détails, soit pas assez, jusqu’à provoquer chez nous une légère frustration par rapport à un besoin d’approfondissement de plus en plus évident, mais hélas pas toujours satisfait.
Border Crossings Placing René Clément’s La Bataille du rail La Bataille du Rail 1946 France 85 mins Source ACMI Collections Prod Co CGCF Prod, Dir René Clément Scr René Clément and Colette Audry, based on stories told to Audry by members of the Resistance Phot Henri Alekan Ed Jacques Desagneaux Mus Yves Baudrier Cast Marcel Barnault, Jean Clarieux, Jean Daurand, Jacques Desagneaux, François Joux, Pierre Latour, Redon René Clément was once one of the brightest hopes of French cinema, an innovator who seemed at the vanguard of a new realism. Like Rouben Mamoulian – an innovator of forms within Hollywood’ whose work has also unjustly suffered critical neglect – Clément’s star has waned significantly since the mid-1950s, his reputation diminished by the attacks of several critics of the nouvelle vague though not André Bazin who championed several of Clément’s films, particularly the London-shot Monsieur Ripois [1954], as well as the weakness of many of his later films. It is now difficult to remember that Clément once had an enormous critical and popular reputation, his first films winning awards at both Cannes and the Oscars and works such as Jeux Interdits/Forbidden Games 1952 and La Bataille du rail gaining significant popular success. Clément’s first feature film, La Bataille du rail, is both a characteristic and anomalous work in the director’s career, pointing forward to the intimate detail of many of his best films while drawing on the distanced ethnography of his pre-war work in documentary. It is both a highly charged dramatic fiction, complete with an almost symphonic score, and a distanced, observational work, drawing upon the conventions of documentary and the heightened realism’ of actual locations, the integration of documentary footage, the reconstruction of recent historical events the actual “battle of the railways” which raged in 1944, and the casting of non-professional actors. Several critics have made connections between Clément’s groundbreaking film and the work of Italian neo-realists such as Roberto Rossellini and Vittorio de Sica. In style and intent La Bataille du rail does have an equivalence with the contemporaneous works of Rossellini – Open City 1945 and Paisa 1946 – particularly in its patented combination of an intense immediacy and a somewhat distanced observation, the placing of characters within the detail of historical circumstances, and the reliance upon the close correspondences between the performers often actual railworkers or Resistance fighters in Clément’s film and the roles that they play. Nevertheless, La Bataille du rail – despite an extremely visceral battle scene between Resistance railworkers and German troops on an armoured train – does not attain the emotional intensity or the level of engagement attached to the character played by Anna Magnani in Open City, for instance, relying instead on an almost Griersonian documentary-like form which has links to the immediate’ dramatic recreations of Humphrey Jennings’ Fires were Started 1943, and an intermittent use of montage which echoes such Dovzhenko films as Arsenal 1929. Soviet cinema seems to have been a general influence on many aspects of the film’s composition. The film also recalls the symbolisation of the locomotive in Renoir’s great poetic-realist work, La bête humaine 1938. There is no doubt that La Bataille du rail is an exceptional and even groundbreaking film, but its influence on subsequent French cinema, like much of the rest of Clément’s work, is minimal. The film is perhaps echoed in Jean Mitry’s more abstract Pacific 231 1949, but the increased naturalism of the nouvelle vague and its great precursor, Melville, as well as the burgeoning Left Bank documentary movement Resnais, Marker, Varda, et al owes little to it. In many respects it is a cul de sac intimating a brief moment of possibility for the emergence of a French neo-realism. A movement that could reflect the complex, schizophrenic picture of a liberated, ultimately victorious, but divided and also defeated nation. La Bataille du rail was initially conceived as a short, and its unusual aesthetic and technical characteristics are perhaps the result of the greater freedom allowed to short and documentary production in the highly cloistered French film industry of the time. This movement from short to feature enabled Clément to become one of the youngest French feature filmmakers of the period in an industry still dominated by those who had begun their careers before the war in contrast to true mavericks such as Bresson and Melville, both of who struggled to get their immediate post-war films made. Yet this quick movement into relatively mainstream feature production ultimately stifled the realist innovations La Bataille du rail suggests. Despite the beautiful detail of films like Jeux Interdits, and the innovations often technical characteristic of many of the director’s subsequent works, a sense of immediacy – the explicit linking of fiction to documentary cinema – was lost. Clément was to some extent a filmmaker out of his time, a young director neatly folded into the cinéma de papa reviled by youthful critics like Truffaut. Even a casual viewing of La Bataille du rail suggests that Clément could have suffered a very different fate. La Bataille du rail was a massive success in France, and was partly responsible for broader industry recognition that war-based subjects were one of the things that post-war French audiences wanted to see this is probably more significant than its iconoclastic technique in this regard. So what attracted French audiences to the film so soon after the end of the war? I think that the film’s success was partly the result of its stoic triumphalism, its portrait of the seemingly widespread small and subsequently larger acts of resistance perpetrated by the French people under German occupation in this regard it may have been seen as a kind of hagiographic fantasy or wish-fulfilment. Based on actual events and relying on the testimony and memory of many of those involved in the battle of the railways,’ the film focuses on the period just prior to and after the Allied landings at Normandy, culminating in the liberation of France and its strategically and symbolically significant rail network. La Bataille du rail opens in a manner resembling a more straightforward kind of documentary, detailing the cumulative everyday acts of resistance possible within a rail system tightly controlled by the Germans. The film also makes its allegiances and breadth of scope known immediately the first shot of the film shows a sign – with German writing on the top and the French translation relegated to below – which declares that Jews are not allowed to cross over into the occupied zone; subsequent shots demonstrate that a broad network of French civilians – railworkers and passengers – are significant both centrally they actively sabotage and peripherally they just allow things to happen around them to the broader program of resistance. As the film progresses it concentrates more and more on more extreme and violent acts of sabotage, the battle being joined to open up a second or third front against the occupying Germans. Clément’s documentary-like approach means that few characters are clearly delineated, while the idea and practice of resistance is elevated to the status of a kind of nationalist fugue, a combination of both armed conflict and simple, cumulative everyday actions. Thus, the immediate appeal of La Bataille du rail – itself a kind of hymn – perhaps lay in this portrait of a broad practice of resistance, and offered a necessary salve to the much more troublesome idea and reality of collaboration. Nevertheless, though often poetic in its combination of man and machine, action and landscape, La Bataille du Rail does not attain the complexity and more nuanced vision of resistance to be found in Melville’s great trilogy Le Silence de la Mer 1949, Lêon Morin, Prêtre 1961 and L’Armée des ombres 1969. But it does contain moments of great power. The sequence where random’ workers are taken out to be shot in retaliation for their increased acts of sabotage, is a brilliant combination of image and sound, focusing on small details of mise en scène and expression while the clamour of the soundtrack intimates both the terror meted out by the Germans and the protest of the railway itself the engines seem to speak up in protest in an aural equivalent to the montage effects found in some Soviet cinema. This moment in La Bataille du rail occupies a space somewhere between the dumping of the partisan’s bodies in Paisas final moments which is much less poetic but more brutally honest and the devastating, but operatic execution scene in Leone’s A Fistful of Dynamite/Duck, You Sucker 1972. All of the elements I have discussed make La Bataille du rail a fascinating, if slightly difficult film to place when situated in a contemporary context. The film’s portrait of the French-German rail system and the way it questions the notorious efficiencies of this network also has interesting resonances with films like John Frankenheimer’s The Train 1965 – which stages a bloody track-side battle over masterpieces of modern art being looted’ from Paris at the time of the Liberation – and Claude Lanzmann’s Shoah 1985 – where key evidence of the Holocaust is traced to the meticulous freight and timetabling records of the Third Reich. The knowledge of what such transports were sometimes used for grants the actions of La Bataille du rail an even greater gravity, its opening shot an indirect, almost unconscious reference to the ominous visage of the endless trains which steamed into places like Auschwitz and Dachau. The final images of the film – where the railways are liberated – indicating a triumphant but still slightly melancholy reappropriation of the tainted machinery of modernity.
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 3,1 132 notes dont 21 critiques noter de voirRédiger ma critique Synopsis Franck, squatteur professionnel, doit remplacer un pote dealeur pour la nuit s’il veut crécher chez lui. Le problème, c’est que Franck n’a jamais dealé … Il n'est pas près d'oublier ses nouveaux clients, plus tarés les uns que les autres. Bande-annonce 129 Acteurs et actrices Casting complet et équipe technique Critiques Spectateurs Je ne doute pas un instant de la sincérité du réalisateur et de son acteur fidèle Pierre Lottin, mais La bataille du rail » m’a laissé quasiment indifférent. Quasiment, car mon intérêt pour les galères de Frank est venu tardivement. J’ai de suite compris sa galère avec sa naïveté face à des personnages ingrats. J’ai compris que chaque personnage visité serait un refrain. Mais quand Frank débarque chez des convives nus, ... Lire plus Une comédie quand même un peu dramatique ou il y a de l'idée dans le scénario, même si ça tire un peu trop dessus par moment, ça reste assez bon ! Une très bonne surprise, avec une interprétation intéressante, le rôle principal bien sûr, très juste, mais aussi les seconds rôles. Une sorte de construction en mode "loi de Murphy" qui monte en puissance. Très sympa Excellente entrée en matière qui cadre immédiatement le filmObligé de dealer pour un pote dans une mega teufRencontre avec des paumés de toutes formes la cour des miraclesCaméra à l'épaule quelle vivacité avec en Bande son de la batterie !Quelle leçon! 21 Critiques Spectateurs Photos Secrets de tournage Naissance du projet Jean-Charles Paugam souhaitait depuis longtemps faire un film sur un dealer de cocaïne, en s'éloignant le plus possible de la référence en la matière, Scarface. Le réalisateur a ainsi choisi de montrer la réalité d’un "boulot" qui s’est à la fois normalisé et uberisé. Il explique "Quiconque vit à Paris a forcément vu au moins une fois débarquer en soirée un livreur de coke. Ces livreurs sont des personnages passionnants qui naviguent chaque Lire plus Franck selon le réalisateur "Franck, c’est L’idiot » de Dostoïevski à première vue, il n’a pas l’air très malin, mais au final, c’est peut-être lui qui a tout compris à la vie ! Sans le vouloir, il ouvre les yeux à chaque client qu’il rencontre, parce qu’il les voit tels qu’ils sont, sans préjugé. Sa grande force, c’est qu’il s’en fout de tout, et du coup, il a un regard très objectif sur le monde." Retrouvailles Pierre Lottin est l'acteur fétiche de Jean-Charles Paugam. Le metteur en scène l'a fait tourner dans ses courts métrages Cadence 2015 et Nuit debout 2018. 8 Secrets de tournage Infos techniques Nationalité France Distributeur - Année de production 2021 Date de sortie DVD - Date de sortie Blu-ray - Date de sortie VOD - Type de film Long-métrage Secrets de tournage 8 anecdotes Budget - Langues Français Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa 151311 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires
Réalisateur Jean-Charles Paugam Durée 1 heure 22 minutes Genre Comédie Langue Français 7 July 2021 49 membres Franck, un squatteur professionnel, doit remplacer un pote dealer pour la nuit s’il veut crécher chez lui. Le problème, c’est que Franck n’a jamais dealé... Il n’est pas prêt d’oublier ses nouveaux clients, plus tarés les uns que les autres ! Acteurs 16
Regarder maintenant NoteGenresDrame , Action & Aventure , Film de guerre , Made in Europe Réalisateur Casting RésuméCamargue, un chef de gare, aide autant qu'il le peut les juifs à fuir les zones occupées par les nazis, pendant la Seconde Guerre Mondiale. Ces résistants leur font traverser cette frontière entre deux France afin qu'ils ne se fassent pas déporter. Ils organisent également des sabotages d'opérations prévues par les allemands et transmettent des informations précieuses au QG londonien. Ce groupe de héros s'appelle la "Résistance Fer".Où regarder La Bataille du rail en streaming complet et légal ?En ce moment, vous pouvez regarder "La Bataille du rail" en streaming sur INA madelen Amazon Channel. Il est également possible de louer "La Bataille du rail" sur Google Play Movies, Orange VOD, Microsoft Store, YouTube, Amazon Video, Apple iTunes en ligne ou de le télécharger sur Orange VOD, Amazon Video, Google Play Movies, Microsoft Store, YouTube, Apple iTunes. Ca pourrait aussi vous intéresser Prochains films populaires Prochains films de Drame
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